mercredi 20 mai 2009

Les barbares sont là-bas

En Angleterre la temperature de la politique grimpe. Le journal The Daily Telegraph a publié tous les detailles des frais octroyé aux députés (members of parliament, MPs). Il y en a plusieurs irregularités dédans qu'eux embarras. Le Figaro discute.

dimanche 17 mai 2009

Soirée cinéma sous titré chez nous

Bien qu'elle nie sa télévision, elle aime bien l'écran large, couleuré, et plate quand il y a un film la montré. En plus il y a un système de sonorisation assez puissant pour la salle, et un lecteur-DVD. Et elle a souscri au magasin d'y l'ont loué. Le dimanche soir arrive; Il faut reverser les disques le matin prochain. Notre travails consommateurs commence.

D'abord un bel film americain entitulé Into the wild; Un grand avantage des disques DVD est on peut choisir le soustitrages qu'on voulait. Comme d'habitude nous regardons en VO (Version originale) avec soustitres en français. Beau, emouvante, sympa, bien dessinée, j'ai pris beaucoup plaisir en le regardent.

Deuxièmement film français titré Le premier jour du reste de ta vie qu'est au moins une diction excellente à promouvoir au publique français. Mais je n'ai pas l'endurance de la regarder ce soir.

vendredi 8 mai 2009

Je voyais les vieux potes de la faculté

À l´Angleterre, à vélo, bien sûr. Assez fatigant, de rouler là, mais le TGV n´admis pas les vélos, bien que le website SNCF, et les personnel aux guichets disent c´est possible. Ce n´est pas possible, quand le contrôleur dit "Non!" c´est non. Donc je le roulait. C´est que 220k à St. Malo, agréable kilometres dans une Bretagne qui pue de fumier et de la fleurisson de colza, que me fait tousser. J´ai resté à St. Juste, roulé les derniers 40 kilometres au ferry le matin. En Angleterre, j´ai pris les trains sans difficulté avec mon vélo.

Le vendredi, j´ai trouvé un smoking et noeud-papillon noir au magasin retro, passai une soirée agréable au pub avec les Londoniens, et, le prochain jour par train à Sheffield pas trop tôt l´après-midi.

Samedi soir, c´était un dîner anniversaire, vingt ans après notre license de médecine. J´imaginait mes vieux collègues obèses, gris. Il y en a, mais pas trop. Je l´ai recognisé la plupart sans difficulté. Plusieurs conversations superficial, court. Le record de procreation: M. Jones, avec six enfants. J´y espere au moins quelques sont gay. Enfin, j´était fier d´être un entre eux: des gens décents, qu´aiderent leur patients la meilleure façon possible. Ma voix était rauque en explicant ma situation pas ordinaire, maraîcheur, en retrait du système anglais, sans laisser une possibilité d´une recrudescence.