dimanche 29 mars 2009

Je choisis mes textes à suivre

C'est vraiment du plaisir du faire le blog. J'ai quelques fils à suivre, et beaucoup du thè pour boire.

Un truc j'ai trouvé outil ici est l'habilité de faire une liste de blogs qu'on suit soi-même.

C'est là: à coté droite. C'est mes copains, ou des choses pour suivre chaque jour pour quelques semaines. Je vais éditer c'est sûr, mais pour l'instant, cette poignet suffisent.

jeudi 26 mars 2009

on suit les logiciels libres

Mon pote Ten m'envoyé un petit courriel vers cet événement.
Ça peut être agréable chez nous. Une belle ballade de l'été.

dimanche 22 mars 2009

Très lente à la faculté

Donc le lundi arrive, et je suis prêt à rouler. Enfin je trouvait une coiffeuse pour couper les cheveux assez court: on porte toujours une casquette en coton noir nommé Campagnolo: c'est un truc pour les cyclistes.

Le jeudi je suis revenu pour un discours sur le GNU/Linux. C'est un étudiant de l'informatique (niveau Masters) qui trébuche sur ses papiers, mais au moins nous arrivons sur un petit sommaire de l'histoire, et plûtot moins sur ses valeurs. J'ai fait un intervention plus tard dans la réunion, mais les autres restent un peu moins enthousiast que moi.

En surfant, j'ai trouvé encore celui: un transcription du discours magistral de Richard M. Stallman (RMS) en juillet 2000 à Bordeaux. C'ést traduit par un français, peut être ,Sebastian Blondeel. Je fait l'original en l'anglais.

Il était un peu de solidarité pour l'idée du wiki dans la salle, peut être dokuwiki, parce que il est facil à installer: "pre-compiled binary stack" qui marche bien sur, par example, Ubuntu, donc c'est très facile pour l'adminstrator du système. Notes à suivre.

jeudi 12 mars 2009

très peu de mots à la faculté

Les choses améliorent par-là. Enfin, après deux mois d'ajournement, nous commençons. La dernière sémaine: c'était quoi, le but? Si on ne connais pas le but, il n'y a pas de but. J'ai essayé de faire ce point avec un maximum d'énergie.
Cette semaine, nous avons une faculté transformée par des banderoles. Desormais nous étudions dans une université populaire. Elle parrait comme une manifestation d'art moderne, titre "en grève à la faculté." Toutes les banderoles bien rangées dans le couloir, les machines de "café" sont éteints, café gratuit en place.
Les etudiants semble inquièts. Ce n'est pas de tout clair qu'ils m'ont compris. Mais ils ecoutent au moins, sans interruption. Je leur donne mon conte sur le poissonier qu'exige une nouvelle pancarte pour son magasin. La structure des histoires pour la presse: pyramide inversée.
À la fin, six etudiantes restent, sur trente. C'est sûr qu'ils auraient un cours de plus haut qualité, si nous étions six au lieu de trente, plus d'attention, plus d'opportunité à participer, être corriger par le professeur: mais comment choisir les participants? Par volonté, où d'autres critères, plus vénals?

mardi 10 mars 2009

la "nouvelle star"

Ce programme televisuelle est un favorit d'elle. Nous reponsons sur le canapé pour le regardent. Grands files des jeunes français serpentent dans les rues de Marseilles et Paris. Ceux que rêve et ceux qui font rêver: eux, les victimes d'entrer dans un fantasme televisuel; nous, les patates telespectateurs que jamais chantent d'un mois à l'autre.

À l'interieur, quatre personnages inconnu chez moi, grands personnages fromages français, serieux, civilisé. Ils evitent les pires barbaries de leurs contemporaines anglophones. Un rockstar des yeux percants, une belle chanteuse, maintenant maternelle, rock journaliste aux lunettes ombrées, jazzman plein d'âme.

Leur boulot: creer une societé de consommateurs de la musique, passifs, nuls, paralysé d'habilité, dechirées de notre heritage des enfants de chant. Je crois les humaines peuvent chanter avant parler: donc je crois la exploitation capitaliste de la musique c'est une fascisme. Je les rejets, bien que je me sents les emotionnes superficial: leur petits sommets de "reussi" ou "echecs." Le "bon" et le "mauvais."

Je me fait une promesse: je chanterai tous les prochaines jours, en liberté, gratuit.

lundi 2 mars 2009

comment faire passer les temps

La plupart des jours je lis l'Internet: parfois en Français, mais beaucoup en Anglais. Ah! La crise! J'aime beaucoup la crise. Les cris des riches, en douleur. La guerre continue. Je déteste la guerre. Ce n'est pas necessaire. Mais on attends pour la fin d'ignorance.

Si on se trouve avec un fusil dans les mains, on a déjà perdu. Les chauds, bien ignorant, leur amygdale aussi grand que leur cervelles. Le brouillard rouge, la brume brune, l'alcool, les drogues.